Histoire
Un lieu prédestiné à la fête
Un endroit imprégné d'une belle histoireLa Grange à Jules existe telle qu’elle est depuis 30 ans. Avant de devenir un lieu événementiel, cet endroit a connu de belles histoires.
Il tient son nom du descendant de ses premiers propriétaires, la famille Daviet, qui a construit la bâtisse originale en 1888. C’est également le nom que porte la route où se trouve cette jolie bâtisse, la route des Daviet.
Tout ce qui s’y est passé nous laisse penser que la grange était prédestinée à la fête et la bonne humeur.
La première vie de la Grange à Jules
Un endroit imprégné d'une belle histoireJules Daviet était le paysan sympathique du bas du village de Chapeiry dans les années 1930 – 1940.
Les villageois descendaient chez lui pour boire un bon verre de cidre (ou plusieurs), de chèvre ou encore d’eau de vie maison et passer un bon moment.
Sa maison est rachetée en 1970 par Camille Damesin. Très vite, elle décide d’y implanter une activité florissante à l’époque…
La fabrique de petits ramoneurs savoyards
Un endroit imprégné d'une belle histoireMadame Damesin était une femme de caractère et très innovante. Elle fait construire un grand atelier, agrandissant la bâtisse originale.
Elle a créé les poupées Nadette en référence à sa fille Bernadette : des poupées folkloriques aux costumes traditionnels de Savoie et de Haute-Savoie. Mais surtout elle a bousculé les habitudes de travail de l’époque, puisque la confection des vêtements se faisait au domicile même des ouvrières et l’assemblage final se déroulait à l’atelier.
Le fer de lance des ces figurines étant bien entendu le Petit Ramoneur Savoyard. Celui-ci est très apprécié des habitants et des touristes de l’époque sur les marchés d’Annecy et d’alentour. En effet, on dit qu’il porte bonheur.
Madame Damesin était aussi une dame très généreuse, elle aimait y recevoir ses amis.
Avant même de devenir une auberge, des soirées inoubliables ont eu lieu dans cet endroit.
Par la suite, le commerce des poupées folkloriques semble être en perte de vitesse. Camille décide donc d’arrêter cette activité et de se tourner, avec son caractère bien trempé, vers la restauration.
En 1981, l’auberge « la Grange à Jules » est inaugurée, où Camille accueille la population locale et exprime sa générosité au travers de plats savoureux et copieux.
La reprise et la transformation
la 3ème génération à tenir l’établissementEn 1995, c’est Nicolas, le petit-fils de madame Damesin et sa femme Caroline qui décident de reprendre le restaurant familial, ils sont alors la troisième génération à tenir l’établissement.
Le lieu qui avait déjà bien vécu est complètement transformé et d’importants travaux sont réalisés : modification de la décoration de l’atelier devenu notre Grande salle avec la pose de bardage au plafond , soubassements et lambrequins en bois pour un côté plus chaleureux, création d’une jolie terrasse, la véranda est construite en 2005.
Le lieu est maintenant propice pour accueillir de grandes réceptions. À cela s’ajoute la passion du couple pour la musique, très vite, des soirées à thèmes sont organisées et la Grange à Jules devient un véritable lieu de spectacle où il fait bon vivre.
On vient manger, danser, fêter, rire et se rencontrer.
Nicolas et Caroline y passeront trente années de leur vie. Ils ont fait de cette grange un véritable temple de la fête et de la bonne humeur au pied du Semnoz.
Tony, votre hôte
De nombreuses histoires sont encore à créerPâtissier et restaurateur aux multiples expériences, Tony Delauney se lance dans l’aventure en 2017 et reprend la Grange à Jules pour continuer cette tradition festive et conviviale en embellissant, année après année, les intérieurs comme les extérieurs.
Ce lieu où il fait bon vivre s’est construit petit à petit et est devenu, au fil des ans, un endroit de fête et de joie.
De nombreuses histoires sont encore à créer… Alors : à bientôt!!
